VELOFOLLIES 2020

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Ce vendredi 17 janvier 2019, s’est déroulé la journée d’ ouverture du plus grand salon du cycle du Bénélux. 3 jours dédiés à la Petite reine, un rendez-vous à ne pas manquer. 

Plus de 40 000 m2 de surface, 6 halls d’ exposition, plus de 300 exposants. Cela est sùr, il sera impossible de visiter le salon en une seule journée. Les horaires sont trop courts pour celui qui décide de s’arrêter le plus souvent aux stands. Le vendredi, jour de notre venue, les portes se sont ouvertes à 10 h 00 et se refermeront vers 22h00. Si le temps vous le laisse, il vous sera possible d’admirer et de tester l’offre complète qui existe dans le monde cycliste.

Une offre complète, suralimentée par une vaste gamme d’accessoires, de vêtements, ainsi que de nombreuses idées de randonnées et de voyages .

En plus de ces nouvelles tendances, le salon propose également toute une série d’activités, telles que des cafés-débats avec des (anciens) cyclistes professionnels, des journalistes et autres aficionados du vélo, des présentations d’équipe et des sessions d’autographes.

Velofollies vous offrira une expérience cycliste inoubliable !

10H00, c’est l’ affluence aux portes du XPO de Kortrijk.

Les prix sont de plus en plus élevés, 16 € l’ entrée, à ceci rajouter le parking, le gasoil, les boissons. A quand un «  pass » pour tout le week end ?

Nous faisons notre entrée au hall 3, et commençons la visite par le stand Spécialized et leurs célèbres S .WORKS. On ne peut que rester admiratif devant de tels engins. Dans les allées, beaucoup de stands disparates, des stands d’ essai avec Tacx, Shimano, et autres. Des stands de voyages, qui pullulent, proposant des destinations cyclotouristes dans divers endroits du monde. Des stands de dégustation, distillant produits et boissons énergétiques. Bref, un beau panel de ce que représente le monde du cycle aujourd’hui. Un monde qui intéresse beaucoup de personnes, vu l’ affluence. Et bien entendu, des vélos à perte de vue. En carbone, alu et autres matériels . Tous plus beau les uns que les autres, il est très difficile de choisir et de rester sur son premier choix.

Les VAE restent l’ attraction de ce salon. Ils sont comme l’an dernier omniprésent. Ils équipent tous les modèles : du vélo urbain, au vélo de course, en passant par le vtt. Ils représentent un marché important. On ne découvre pas de baisse significative de ces modèles qui s’arrachent à prix d’or.

L’autre tendance est ce vélo mi-course et mi-tout terrain qu’est le gravel. Il est de chaque stand, bien positionné et non relégué en arrière plan. Il représente une bonne part de marché chez nos distributeurs . En alu ou en titane pour certains, ils offrent un bon compromis pour l’ hiver. Modulable et peu honéreux, ils ont souvent attiré l’oeil d’un public averti, en quête de nouvelles expérimentations.

Les coloris, cette année ont passés la vitesse supérieure et s’orientent vers des nuances qui n’ont rien à envier aux pantones de grands constructeurs automobiles. De beaux mélanges de couleurs mates et brillantes sur le même vélo. De magnifiques dégradés partant souvent d’une base noire pour s’éclaircir sur les parties supérieures. Et que dire de ces couleurs caméléons, qui changent à chaque déplacement que vous faites. Bref, du grand art ou les stickers, feutres ou autres procédés ont pris le pas sur le reste.

Vu aussi, la chasse m2. Les stands sont de plus en plus restreints, laissant de moins en moins de place pour circuler entre les vélos. La chasse aux cadeaux, exit ce qui faisait aussi les joies des expositions : Les casquettes, bidons, et autres objets promotionnels qui ravissaient petits et grands. Aujourd’hui, il est difficile de remplir sa musette sans quémander.

Radins, ils sont de plus en plus près de leurs sous, ces grandes marques qui encaissent des milliers d’euros à chaque vente de vélos.

Côté vélo, un absent de marque que recherche toujours André : Cannondale. Sinon les grands noms que sont Pinarello, Colnago, Trek, Giant, Canyon, Rose, ont présentés leurs plus beaux modèles. Chez nos français, Look, Origine, Van Rysel, Time, n’avaient pas à rougir face à la concurrence. De beaux spécimens prenaient place et chacun pouvait admirer les différents modèles, des groupes de plus en plus performants, allant pour certains jusqu’a 12, voir 13 vitesses. L’ électrique DI2 de chez Shimano était plus que représenté.

L’ électrique est-il ce que fût à un certain temps le dérailleur ? indispensable ? On vous en colle, en veux tu, en voilà. Ne peux t’on pas s’en astreindre. Devons nous toujours suivre les tendances, et autres goûts du jour. Que faisions nous, il y a plus de cinq ans, quand tout cela n’était que chimère.

Nous finirons cette soirée, vers 18h00. Un beau salon, de belles machines, mais un air de déjà vu. Les Velofollies reste le salon le plus apprécié au delà de Paris. Il y règne une ambiance de convivialité, connue de chez nos voisins belges.

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